LIVRE III concerne lui le gouvernement défini au chap.

Du Contrat Social Livre 3 Résumé Par Chapitre 2

Or cette organisation du pouvoir par la représentation du peuple est celle que connaisse de nombreux pays, dont la France, et qui se trouve être critiquée ici. Rousseau affirme que la souveraineté se trouve dans la volonté générale, et cette volonté ne peut pas être représentée, les députés du peuples ne peuvent donc être que des commissaires du peuple, c'est-à-dire être sous les ordres du peuple et ne prennent pas librement les décisions. Du contrat social, Livre III, Chap. 4 – Mon année de philosophie. Par ailleurs, pour Rousseau, la loi est l'expression de la volonté générale, et doit obligatoirement être soumis à l'approbation populaire. C'est pour cette raison que le peuple ne peut être représenté dans des organes législatifs, comme un Parlement, mais uniquement dans les organes exécutifs, puisque par définition ce sont ces organes qui vont permettre l'application de la loi, et seul le peuple en a le pouvoir. Cette conception du pouvoir correspond à la théorie de la souveraineté populaire, c'est-à-dire le titulaire de la souveraineté est le peuple, ce qui implique une démocratie directe.

La question qui se pose, pour Rousseau, est celle du caractère particulier et du caractère général de la souveraineté. Chapitre II: Que la souveraineté est indivisible Étant donné que la souveraineté est un acte volontaire, elle ne peut jamais être divisée, elle ne peut pas être partagée. Nous sommes encore dans le cas de l'opposition entre particulier et général. Rousseau aborde ici la différence entre la force et la volonté. Chapitre III: Si la volonté générale peut errer Il est question ici de l'erreur. Si la souveraineté est une volonté du peuple, il est impossible de faire erreur, car le peuple ne désire jamais son propre mal. Du contrat social livre 3 résumé par chapitre wood. Chapitre IV: Des bornes du pouvoir souverain L'intérêt général ou le pacte social doit être raisonné, car le souverain ne peut, en aucun cas, s'occuper des faits particuliers, raison pour laquelle le pouvoir souverain est borné. Chapitre V: Du droit de vie et de mort Il s'agit ici de parler du droit de la vie et de la mort, du droit détenu par le souverain. En réalité, le souverain ne peut pas prescrire la mort, mais il peut donner ce droit.

July 31, 2024, 12:37 am