Aider quelqu`un/une, c`est n`est pas de répondre à l`instant à ses besoins. Parfois peut-être il y a quelqu`un/une qui agit de la sorte pour se libérer tout de suite de l`autre. Homélie pour le 6e dimanche du temps ordinaire. Année B | Blogue du Moine ruminant. Mais aider à l`exemple du Seigneur, ça signifie que nous sommes au début appelé à entrer en rapport avec l`autre, l`écouter et partager sa souffrance jusqu`au point que l`autre se sente aimer et ensuite…agir. Alors, pendant cette prochaine semaine, répétez-vous cette belle prière du lépreux « Si tu le veux, tu peux me purifier », comme désir de rencontrer Jésus dans notre quotidien. Si vous voulez aussi, je vous conseille d`essayer à remplacer le verbe « purifier », selon votre nécessite, avec d`autres verbes: aider, illuminer, guider, faire connaître, et cætera… Nous avons besoin du Sauveur; nous savons besoin de Jésus, qui peut nous guérir dans le cœur, dans l`esprit et dans notre capacité de lire et d`interpréter la réalité, en nous donnant les grâces nécessaires pour marche vers la plénitude. Je vous propose de continuer à réfléchir sur la situation de ce lépreux, comparée avec la vôtre de chaque jour.

6E Dimanche Du Temps Ordinaire Année B.O

(6 ème dimanche du Temps Ordinaire, année B, Marc 1, 40-45) La lèpre est une maladie de la peau somme toute peu contagieuse, mais les lésions qu'elle provoque sur les nerfs et surtout sur la peau sont très graves. A tel point que l'isolement des malades a été très longtemps la seule chose que la société ait su faire. Les juifs de l'époque de Jésus, par souci de pureté et pour écarter de leur vue ces êtres défigurés, mettaient impitoyablement les lépreux au rencart: pas question de les approcher ni encore moins de les toucher! Ils étaient des exclus de la communauté. Dans l'évangile de ce jour, plutôt que de tergiverser et de palabrer sur le pourquoi de cette règle d'exclusion édictée par les juifs, Jésus passe à l'action et transgresse sans hésiter cette règle. Dimanche prochain | 6ème dimanche du temps ordinaire. A cet homme qui vient à lui pour lui montrer sa misère et la lèpre qui le ronge, Jésus apporte la guérison. En faisant passer l'amour en premier, en faisant tomber les barrières qui le séparent de ceux qui souffrent, Jésus nous montre ce que Dieu peut faire à travers lui.

6E Dimanche Du Temps Ordinaire Année À Toutes

6ème dimanche -Année B- 15 février 2009 – Evangile de Marc 1, 40 – 45 Proclamer la Bonne Nouvelle du Pardon Quelle est la différence entre un historien et un évangéliste? Le premier se livre à une enquête sérieuse afin de rapporter avec la plus grande exactitude les événements de telle époque, les réalisations de tel roi, les exploits de tel grand personnage. Il transporte son lecteur dans le passé, lui donne l'impression d'être là, lui prouve que tout s'est réellement produit comme il l'a écrit. 6e dimanche du temps ordinaire année à toutes. On en reste au niveau de l'information, de la curiosité, de l'érudition. L'évangéliste, lui, opère le mouvement inverse: dans sa foi en Jésus ressuscité, il ne cherche pas à reconstituer les circonstances du passé. Au contraire, il veut montrer au lecteur que le Jésus du passé est le SEIGNEUR D'AUJOURD'HUI qui peut le rejoindre dans son existence. La Bonne Nouvelle ne consiste pas à savoir des faits anciens mais à actualiser et vivre l'Evangile au présent. Ainsi en ce dimanche, saint Marc, en nous racontant la guérison du lépreux, ne nous fournit aucun détail: où ça s'est-il produit?

6E Dimanche Du Temps Ordinaire Année À Tous

À chacun d'entre nous de tirer les leçons de cet enseignement de Jésus. Notre assurance, nous ne la tenons pas de l'approbation des humains, mais de la confiance que nous mettons en Dieu. La meilleure règle de vie, ce n'est pas de plaire aux autres, mais de les aimer. Les disciples ont su trouver le bonheur à la suite de Jésus, en écoutant son enseignement et en le mettant en pratique. Saurons-nous faire de même? Le christianisme a certainement des enseignements et des paroles sages. Le 6e dimanche du temps ordinaire C(0) – francoisassise. La foi en Jésus a le pouvoir de calmer les eaux de la vie trépidante que nous vivons. Mais la racine du christianisme réside dans la croyance en la résurrection corporelle des morts, à commencer par celle de Jésus. Comme certains membres de la communauté de Corinthe, beaucoup de chrétiens auto-proclamés aujourd'hui ne souscrivent pas à la doctrine de la résurrection. Pour eux, la résurrection est une métaphore. Après l'hiver vient le printemps. Pour beaucoup, le christianisme est un groupe d'enseignement et de paroles sages qui apaisent.

6E Dimanche Du Temps Ordinaire Année Bien

Tous, nous sommes invités à suivre l'exemple de Jésus pour apporter un peu de réconfort et d'espérance à ceux et celles qui sont malades, rejetés et isolés. Jusqu'où sommes-nous prêts à aller dans l'aide que nous apportons aux personnes marginalisées? Sommes- nous prêts à transgresser le « code de pureté » implicite de notre société selon lequel seules les personnes économiquement indépendantes et productives ont de la valeur? Paul, comme Jésus, s'est attaqué aux préjugés et à l'exclusion. Dans l'épître aux Corinthiens, la question était de savoir si un chrétien peut consommer des viandes non dûment autorisées par un sacrifice. Paul explique qu'il est possible de consommer ces viandes puisque ces sacrifices ne signifient rien pour un chrétien. D'autre part, si le fait de les consommer signifie de s'associer au culte des idoles, alors n'en mangeons pas. 6e dimanche du temps ordinaire année b.o. Nous devons nous comporter en personnes libres, mais nous devons aussi limiter volontairement notre liberté par considération pour notre entourage pour éviter de les offenser.
Nous aussi nous sommes des lépreux à nos heures avec nos fragilités. Avec ce qui nous défigure et nous ronge de l'intérieur, avec tout ce qui nous empêche d'être un membre à part entière de la communauté humaine et d'offrir ce que nous avons d'unique. Tous, nous avons besoin de la tendresse de Dieu. Nous sommes peut-être moins mobilisés que nous le devrions, une lèpre nous afflige peut-être. Dans le lépreux, il y a un peu de chacun de nous. Laissons agir la foi qui nous amène à nous tourner vers Dieu et à dire: « Si tu veux, tu peux me guérir ». Et pourquoi ne pas étendre la main aujourd'hui vers celui qui souffre? Laissons l'amour en nous être le plus fort, en découvrant que « tout homme est un frère, que toute femme est une sœur. » Quelle maladie intérieure ronge en nous et la santé et la sainteté? Qu'attendons-nous de Jésus? De quelle lèpre désirons-nous être purifiés? 6e dimanche du temps ordinaire année à tous. Serge Lefebvre D'après diverses sources
July 31, 2024, 8:33 am