Carte du jeu karuta. Le Ogura hyakunin isshu ( 百人一首?, lit. Cent poèmes de cent poètes) est une célèbre compilation de poèmes classiques japonais. Ce nom peut aussi faire référence au jeu karuta qui se base sur ce fameux recueil. Historique Le Hyakunin isshu ( 百人一首? ), De cent poètes un poème [ 1]), aussi appelé Ogura hyakunin isshu ( 小倉百人一首? ), est un célèbre recueil de poèmes exemplaires compilé au XIIIe siècle. Il est généralement admis que son compilateur est Fujiwara no Teika ( 藤原定家? ) (1162-1241), poète majeur de son temps qui est au centre des sources témoignant de l'histoire de ce recueil. C'est en effet dans son journal personnel, le Meigetsuki (明月記, Notes de la lune claire), que Teika mentionne une demande d'Utsunomiya Yoritsuna (en) ( 宇都宮頼綱? ) à la date du 27 du cinquième mois 1235 [ 2]. Ce dernier souhaitait des calligraphies de poèmes sur des shikishi ( 色紙?, lit. papier de couleur), afin de décorer les portes coulissantes de sa demeure à Saga. Le choix des poèmes semble ensuite avoir été légèrement modifié par Teika [ 3], avant d'être compilé sous la forme d'un recueil et d'aboutir à la forme qu'on connait aujourd'hui.

Hyakunin Isshu Français Allemand

Le Ogura hyakunin isshu ( 百人一首?, lit. Cent poèmes de cent poètes) est une célèbre compilation de poèmes classiques japonais. Ce nom peut aussi faire référence au jeu karuta qui se base sur ce fameux recueil. Historique [ modifier | modifier le code] Le Hyakunin isshu ( 百人一首? ), De cent poètes un poème [ 1]), aussi appelé Ogura hyakunin isshu ( 小倉百人一首? ), est un célèbre recueil de poèmes exemplaires compilé au XIIIe siècle. Il est généralement admis que son compilateur est Fujiwara no Teika ( 藤原定家? ) (1162-1241), poète majeur de son temps qui est au centre des sources témoignant de l'histoire de ce recueil. C'est en effet dans son journal personnel, le Meigetsuki (明月記, Notes de la lune claire), que Teika mentionne une demande d' Utsunomiya Yoritsuna (en) ( 宇都宮頼綱? ) à la date du 27 du cinquième mois 1235 [ 2]. Ce dernier souhaitait des calligraphies de poèmes sur des shikishi ( 色紙?, lit. papier de couleur), afin de décorer les portes coulissantes de sa demeure à Saga. Le choix des poèmes semble ensuite avoir été légèrement modifié par Teika [ 3], avant d'être compilé sous la forme d'un recueil et d'aboutir à la forme qu'on connait aujourd'hui.

Hyakunin Isshu Français Pour Yad Vashem

Je vous propose la traduction suivante: Oh palais impérial! Même ses vieux toits envahis de fougères raniment ma nostalgie de ce glorieux passé. **** Voilà, c'était le dernier poème du Hyakunin isshu. J'arrive au terme de la tâche que je m'étais assignée, non sans un pincement au cœur. J'ai connu des périodes d'enthousiasme et de franche lassitude, voire de profond découragement. Je suis heureuse d'avoir persévéré car j'ai fini par retrouver dans la traduction de ces poèmes le plaisir qui m'avait un moment abandonné. L'étude de ce recueil m'a ouvert la porte de tout un univers poétique, littéraire, et historique dont la découverte a considérablement enrichi mon existence. C'est une expérience précieuse dont je sens l'influence à bien des niveaux. Je ne suis pas certaine de me lancer à nouveau un défi de ce genre, mais je continuerai assurément à lire et à traduire de la poésie japonaise, qui fait désormais partie de ma propre culture. またね ! Index en romaji: momoshiki ya furuki nokiba no shinobu ni mo nao amari aru mukashi nari keri

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Il en reste aus­si et sur­tout, [à tra­vers] la connais­sance de quelques cen­taines de mots, la plu­part tou­jours usi­tés, pris dans leur [sens] ancien, voire archaïque, la per­sis­tance de quelques dizaines d'images liées à la suc­ces­sion des quatre sai­sons », dit M. René Sief­fert ********. Bref, si tous les Japo­nais sont poètes peu ou prou, c'est au « Hya­ku­nin Isshu » qu'ils le doivent d'abord. Ce sont les images raf­fi­nées qu'il leur montre qui les poussent en pèle­ri­nage au Fuji, aux ceri­siers de Yoshi­no, aux érables d'Ogura, s'asseyant sous les arbres en fleur, célé­brant la beau­té de l'heure brève, alors même qu'au Japon, comme ailleurs, la moder­ni­sa­tion étouffe les épan­che­ments de cette sorte. Il n'existe pas moins de quatre tra­duc­tions fran­çaises du « Hya­ku­nin Isshu », mais s'il fal­lait n'en choi­sir qu'une seule, je choi­si­rais celle de M. René Sief­fert. 「花さそふ 嵐の庭の 雪ならで ふりゆくものは わが身なりけり」 — Poème dans la langue ori­gi­nale « Ce n'est point la neige De fleurs que sur mon jar­din Répand la tour­mente Mais celle que les années Ont dépo­sée sur ma tête » — Poème dans la tra­duc­tion de M. Sief­fert « Qui neige, empor­té au jar­din des Tem­pêtes?

July 31, 2024, 12:35 am